Tous ces artistes, nous les représentons et ils nous représentent. C’est le reflet d’un Montmartre actuel, qui doit vivre. L’art que nous présentons n’est pas celui d’une carte postale, il n’est pas figé mais doit s’inscrire dans la durée. La galerie évite les simples stimuli, elle cherche et recherche l’intérêt pérenne dans la surprise de la proposition esthétique.
Tous ces artistes, nous les représentons et ils nous représentent. C’est le reflet d’un Montmartre actuel, qui doit vivre. L’art que nous présentons n’est pas celui d’une carte postale, il n’est pas figé mais doit s’inscrire dans la durée. La galerie évite les simples stimuli, elle cherche et recherche l’intérêt pérenne dans la surprise de la proposition esthétique.
En avant
KIP OMOLADE
MICHEL BASSOMPIERRE
LUZ SEVERINO
GIORGIO TENTOLINI
ANTON SMIT
PATRICK RUBINSTEIN
GIL BRUVEL
BENEDICTE DUBART
Collection Salvador Dalí
La Galerie Montmartre présente la collection des multiples en bronze de Salvador Dalí à Paris.
La Galerie Montmartre est une galerie familiale, elle nous reflète, elle le doit. C’est notre seule ligne directrice. L’art n’y est pas un diktat, c’est une proposition, qui n’est ni dogmatique, ni doctrinaire, pas même docte. Notre galerie est un espace de confluence, portée par un courant, et le seul qui vaille, celui des artistes.
Autour de ce courant nous bâtissons les collections, que nous voulons analogues à l’égalité géométrique : un travail sur les proportions et leur harmonie, non sur le nombre. Nous ne voulons pas être un ogre, pas plus un Goliath qu’un Saturne. L’art que nous présentons doit donc garder une certaine cohérence tant dans l’esprit qu’en termes esthétiques.
Bien entendu, nous avons des thèmes de prédilection. Le rapport au temps et à ses idoles ou ses icônes fut l’un de nos premiers. Il reste moteur pour des artistes (permanents) de la galerie ainsi Giorgio Tentolini et Léo Caillard, qui firent chez nous une exposition conjointe mêlant fil de fer maillé et sculptures de marbre. Ils sont parvenus, chacun dans leur registre, à créer textures et profondeur chez des modèles antiques qu’ils ont voulus en plein renouveau.
Le maître animalier Michel Bassompierre et la peintre caribéenne Luz Severino explorent eux un autre thème qui nous est essentiel : le rapport humain à la Nature et à ses formes, l’un par les courbes épurées d’une faune qui nous paraît si familière, l’autre par ses entrelacs floraux peints puis tissés sur toile. Ils développent une vision de la nature, la nature immuable, loin d’être figée, qui se meut. En matière de formes, Kip Omolade est l’un de ceux qu’on n’oublie pas. Ses visages peints surgissent de la toile, avec élégance, touchent autant qu’ils surprennent.
Tous ces artistes, nous les représentons et ils nous représentent. C’est le reflet d’un Montmartre actuel, qui doit vivre. L’art que nous présentons n’est pas celui d’une carte postale, il n’est pas figé mais doit s’inscrire dans la durée. La galerie évite les simples stimuli, elle cherche et recherche l’intérêt pérenne dans la surprise de la proposition esthétique.